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Comme une résurgence
La mémoire des Aygalades à travers la photo de famille de 1965 à nos jours
ça a complètement détruit l’équilibre social
J’ai laissé mon âme ici, j’y ai mes racines.
la physionomie du quartier a changé
pour que la rue ne me le prenne pas
Les grandes familles
réunir à nouveau
Mes meilleurs souvenirs d’enfance aux Aygalades ? Je ne sais pas il y en a tellement…
les familles étaient vraiment très proches
la cité du bas
Les plages du Prado, on ne connaissait pas
Moi je suis pour l’égalité
Le regard des gens m’empêchait d’être française
Fermer le porche...
on se marrait !
La mixité ?
Manouba
On trouvait des jeux, on inventait.
un commerce de prêt-à-porter sur le Plateau
c’est chez nous.
C’est la routine silencieuse
dans le dur
une histoire méditerranéenne
Tout autour de la cité il y avait des structures publiques
Son assassinat c’était en 95…
tu n’as plus d’arrangements entre quartiers
la CMU
c’est l’ennui
pourquoi les Aygalades c’est tranquille ?
les glaces à la rasbail
les gâteaux sur la tête
C’est la première fois que je me vois en photo
Les années 80, c’était les années noires.
Je parle 5 langues
Ça marque mal !
La peur, c’est l’enfermement.
« ça coule de source »
Mon père a été docker
Il faut savoir nager pour sortir de la cité.
la marmite tournait toute la journée.
Plus tu montes dans la cité, plus tu montes socialement.
La première fois, j’avais 18 ans.
la liberté comme on ne pouvait pas l’imaginer.
« l’empowerment »
on est partis sous les pierres …
ici, il y a eu des fugues
c’est un quartier plaisant
aller là-bas ça m’a fait pleurer
ils les « mangent » les fleurs
le champagne dans le coffre
On bougeait énormément.
on ne partait pas
sur les bancs du Plateau
la retraite à 55 ans
À la maison, on parlait moitié espagnol, moitié portugais.
la cité du milieu
Le local pour la mosquée
Mon meilleur souvenir c’est notre fraternité
les jardins partagés
Les mariages mixtes c’est récent
la réinsertion par le sport
des victimes qui deviennent des bourreaux
une ferme où les enfants allaient chercher le lait
le voile
le regard des autres
Je les ai vus naître tous.
Les deuils
Ils se tuent pour l’euro, pas l’héro
hommage à 13habitat
c’est la guerre civile qu’il faut éviter.
à 6 heures du mat.
La radicalisation, c’est une histoire d’appartenance